Direction générale des Finances publiques (DGFiP)

468 offres d’emploi

Qui sommes-nous ?

Les Finances publiques, au cœur de l’État, au service de tous, partout sur le territoire

Au sein du ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, la Direction générale des Finances publiques (DGFiP) est une administration essentielle au fonctionnement du pays.

Présente sur tout le territoire, la DGFiP est une administration performante et innovante au service de ses usagers et de ses partenaires.

Pourquoi nous rejoindre ?

Chiffres clés

95 000

Agents

1 000

contractuels recrutés en 2021

2 900

services implantés sur tout le territoire

50

métiers dans de nombreux secteurs d'activité

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10 bonnes raisons de rejoindre les Finances publiques

Bonjour moi c’est Noémie, je suis apprentie aux Finances publiques et on se retrouve aujourd’hui à Bercy, au Ministère, pour interviewer Jérôme Fournel, le directeur général des Finances publiques afin qu’il nous dise les 10 bonnes raisons de rejoindre cette grande administration. c’est parti.

Alors, bonjour Monsieur Fournel, (Bonjour!) pouvez-vous vous présenter en quelques mots, s’il vous plait ?

Oui. Bien sur. Je suis Jérôme Fournel, Directeur général des Finances publiques. Je suis à la tête de cette grande administration, près de 100 000 agents et.. c’est une administration assez formidable. J’ai été nommée à la tête de cette administration, c’était à la fois pour être au cœur du fonctionnement de l’état, du fonctionnement du pays parce qu’elle est au cœur de tous les fonctionnements financiers du pays. Et puis c’est une kyrielle de métiers, plein de sujets passionnants à explorer.

Et … Pourquoi avoir voulu faire cette vidéo ?

Alors, à la DGFiP, aujourd’hui, on est en train de recruter près de 5 000 personnes par an. C’est énorme. Et on s’aperçoit qu’on a en réalité des sujets fiscaux, gestion de l’impôt, de contrôle, qui sont très connus, mais qu’il y a plein d ‘autres métiers dans la maison. Et dieu sait s’ils sont nombreux les métiers de la maison.. et qui sont beaucoup moins connus. Et donc, on veut faire en sorte que les gens qui viennent nous rejoindre, ils soient intéressés. Que ce soit des gens qui passent des concours, des contrats, des service civiques, des stagiaires, des gens qui sont en apprentissage ou en alternance chez nous…eh bien, que ces gens là, leurs successeurs puissent découvrir nos métiers, faire en sorte de visualiser ça. Et donc, c’est ça l’objectif de cette vidéo c’est d’essayer de donner envie et de donner à voir.

Alors justement, plusieurs d’entre nous ont voulu vous poser des questions aujourd’hui. Et on va commencer tout de suite si vous voulez bien par Jean-Baptiste, qui vous a enregistré cette petite vidéo, je vous laisse la visionner …

Monsieur le Directeur général, notre administration compte plus de 50 métiers. Quel est selon vous le métier le plus original à la DGFiP ?

Alors y’a beaucoup de métiers… il a raison Jean-baptiste, ya beaucoup de métiers à la DGFiP. Plus de 50, probablement même plus car en réalité on en oublie toujours. Alors si on va chercher les métiers originaux, y’en a notamment dans le domaine du cadastre, du foncier, avec les géomètres. Et puis y’a aussi des métiers dans la gestion des successions en déserrance. Par exemple quand y’a pas d’héritier, y’a des gens qui vont gérer les successions dans la durée. Ou par exemple, dans les ventes aux enchères puisqu’il y a des commissaires aux ventes : on fait régulièrement, la direction nationale fait des ventes de biens, parfois d’ailleurs très originaux. Ça peut être des voitures de luxe qui ont été prises sur des malfrats, ça peut être des bijoux, ça peut être des vieux vins, ou ça peut être des œuvres d’art. Et, ya des commissaires aux ventes chez nous.

D’accord, très bien. Alors maintenant je vais laisser la parole à Chloé qui avait également une question pour vous.

Bonjour. Je m’appelle Chloé, je suis stagiaire en communication à Paris à la DGfiP. Ma cousine m’a dit qu’elle y travaillait mais à Poitiers. Est-ce que c’est possible ?

Oui, alors la DGFiP elle a la particularité d’être sur l’ensemble du territoire français. On a même des gens qui sont parfois à l’étranger, puisqu’on a des attachés fiscaux dans certaines ambassades. Et sur le territoire français on est présent dans plus de 4 000 lieux donc on peut travailler à la DGFiP à peu près partout en France et ta cousine elle a raison d’être à Poitiers.

D’ailleurs, pour rebondir sur la question de Chloé. Maintenant, que la majorité des choses se font en ligne, pourquoi y a t il encore autant de centre des Finances publiques en France ?

Alors, tu as raison sur ce point là. C’est que, à la DGFiP on travaille beaucoup sur la numérisation. D’ailleurs on a beaucoup de projets qui sont très forts sur cet angle là et… les citoyens, les contribuables ils nous disent que nos services sont plutôt de bon niveau sur le plan numérique. En même temps, on a l’ambition de laisser personne de côté.  Et.. c’est extrêmement important de pouvoir offrir des services à la fois pour des gens qui se débrouillent (comme toi, comme ceux qui savent facilement manier une tablette, un ordinateur) et puis, pour des gens qui ont plus de difficultés. Et aujourd’hui on est dans une société ou c’est extrêmement important qu’on reste présent, y compris physiquement, y compris que tu puisses entrer dans n’importe quel territoire dans un endroit ou quelqu’un physiquement peu t’accueillir, put te conseiller.  Et c’est ce qu’on essaie de faire, y compris dans les évolutions de notre réseau. On fait extrêmement attention à ce que cette possibilité reste ouverte et on est de fait, un des services publics aujourd’hui les plus implantés sur le territoire.

D’accord. Alors maintenant je laisse la parole à Halim, qui avait également une question pour vous.

Bonjour Monsieur Fournel. Je suis Halim, inspecteur des finances publiques exerçant actuellement au contrôle fiscal. On dit beaucoup aujourd’hui que l’administration est lente et rigide. Est-ce vrai ?

On a forcément des défauts mais je vais te donner un exemple qui montrera qu‘on est également très très réactifs. Au début de la crise COVID, tout s’est fermé, on nous a demandé de rester chez nous, bien sur pour les entreprises c’était extrêmement compliqué. Et on, le Gouvernement, a demandé à la DGFiP de monter un fond de solidarité pour aider les PME. A la fin, il a versé à plus de 2 millions d’entreprises, plus de 40 milliards d’euros de subventions. Et ça sur des mois et des mois. Et bien le fonds, il a été monté en 15 jours. Et en 15 jours on a été capable de l’ouvrir, de faire en sorte qu’il y ait une page d’accueil, un formulaire à remplir, un truc très simple et puis derrière qu’on soit capable de réagir. Même dans des cas qu’on a vécu cet été par exemple avec les incendies, et bien on est capable de monter une hotline pour aider les gens qui sont en difficulté là aussi dans des délais de quelques jours, parfois même dans la journée. Donc on sait être très réactif et objectivement aujourd’hui l’agilité de la DGFiP ça fait partie des choses qui lui sont assez fortement reconnu.

Et euh les Finances publiques, on sait que c’est une très grande administration française… Et lorsqu’on y travaille y a t il un dress code à respecter ?

Oh bah j’ai pas l’impression qu’il y a un dresse code là. Non euh je dirais la seule….je dirais la seule limite je dirais c’est le respect qu’on doit aux autres ça c’est sur. Mais objectivement, moi je me balade beaucoup dans les services et je peux dire qu’il y a pas de dress code à la DGFiP. Promis. D’accord (rires)

Alors maintenant je laisse la parole à Caroline.

Bonjour Monsieur le directeur général, je voudrais savoir de tous les projets que vous avez eu à développer, duquel sujet êtes vous le plus fier ?

Y a une chose qui me rend assez fier c’est quand les concitoyens qui sont des usager du service public, ils disent la DGFiP ça fonctionne bien. Et d’une certaine manière c’est ça qui me rend le plus fier, c’est quand le regard extérieur qu’on porte sur nous, il est favorable et qu’on nous dit vous faites bien votre job. C’est ce qu’on essaie de faire et je crois qu’on ne le fait pas si mal que ça vu ce qu’ils nous disent.

Alors maintenant, on a une autre question, qui a été également enregistrée par Margaux. Je vous laisse la visionner.

Margaux (tablette) : Bonjour Monsieur, je m’appelle Margaux, j’ai récemment obtenu le concours d’IFIP. Dans les locaux des Finances publiques, on peut voir des affiches originales sur le thème du recyclage… Etes-vous sensible à l’écologie ?

Bon sujet. Ce qu’on a fait c’est qu’on a lancé maintenant depuis 3 ans, une démarche de ce qu’on a appelé « ecofip », pour l’incarner au sein de la maison, qui était justement une démarche d’attention à ces sujets, qui en réalité couvrait deux euhhhhh deux thèmes : d’une part je dirais, essayer de travailler sur tout ce qui peut être des facteurs favorables à l’environnement, réutilisables, bornes électriques, garage à vélo etc. tout ça pour développer d’une certaine manière des pratiques qui sont conscientes de l’environnement. Et puis 2 : on s’est lancé dans un grand exercice, on a été les premiers à le faire de bilan de nos gaz à effet de serre. Et donc, l’ambition c’est d’à la fois faire le point de départ, et ensuite de se donner une trajectoire pour nous aussi être dans une trajectoire 0 carbone à un horizon de quelques années. Donc Oui, on y est extrêmement sensible.

Alors, pour continuer ce petit tour de table, je laisse la parole à Yasmine.

Bonjour Monsieur Fournel. En intégrant la DGFiP, quelque chose m’a frappée, c’est la diversité des métiers en informatique. Je vois aussi que les Finances publiques recrutent beaucoup en informatique. Donc je me demande si ça a toujours été le cas ou est-ce que c’est nouveau ?

Pourquoi ? Parce qu’on manie énormément de données, parce qu’on a des process qui naturellement…qui peuvent être très utiles de faire basculer sur du numérique et sur de l’informatique. Aujourd’hui on est plutôt à l’époque de l’intelligence artificielle, on est plutôt dans les assistants digitaux qu’on a développé, y compris par exemple pour rempli sa déclaration en ligne, vous avez un chatbot qui répond, récemment la presse s’est faite l’écho d’un programme d’intelligence artificielle qu’on a développé pour repérer directement qui des piscines, des abris de jardin qui auraient été mis là et pas taxé comme ils doivent l’être. Donc on a un énorme travail la dessus et on a besoin énormément, on a besoin de talents partout, mais dans ce domaine là c’est certain, on continuera à avoir un énorme besoin de talents. Et aujourd’hui on est un des gros recruteurs de talents informatiques, de talents numériques, dans absolument tous les domaines.

Alors je remercie tout le monde d’avoir participé à ce petit tour de table. Et je vous remercie Monsieur Fournel du temps que vous nous avez accordé pour répondre à toutes nos questions. Et bah c’est moi qui vous remercie beaucoup et bonnes suites à la DGFiP ! Merci !

Cette interview est maintenant terminée. J’espère qu’elle vous aura plu et à bientôt.

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10 bonnes raisons de rejoindre les Finances publiques

Bonjour moi c’est Noémie, je suis apprentie aux Finances publiques et on se retrouve aujourd’hui à Bercy, au Ministère, pour interviewer Jérôme Fournel, le directeur général des Finances publiques afin qu’il nous dise les 10 bonnes raisons de rejoindre cette grande administration. c’est parti.

Alors, bonjour Monsieur Fournel, (Bonjour!) pouvez-vous vous présenter en quelques mots, s’il vous plait ?

Oui. Bien sur. Je suis Jérôme Fournel, Directeur général des Finances publiques. Je suis à la tête de cette grande administration, près de 100 000 agents et.. c’est une administration assez formidable. J’ai été nommée à la tête de cette administration, c’était à la fois pour être au cœur du fonctionnement de l’état, du fonctionnement du pays parce qu’elle est au cœur de tous les fonctionnements financiers du pays. Et puis c’est une kyrielle de métiers, plein de sujets passionnants à explorer.

Et … Pourquoi avoir voulu faire cette vidéo ?

Alors, à la DGFiP, aujourd’hui, on est en train de recruter près de 5 000 personnes par an. C’est énorme. Et on s’aperçoit qu’on a en réalité des sujets fiscaux, gestion de l’impôt, de contrôle, qui sont très connus, mais qu’il y a plein d ‘autres métiers dans la maison. Et dieu sait s’ils sont nombreux les métiers de la maison.. et qui sont beaucoup moins connus. Et donc, on veut faire en sorte que les gens qui viennent nous rejoindre, ils soient intéressés. Que ce soit des gens qui passent des concours, des contrats, des service civiques, des stagiaires, des gens qui sont en apprentissage ou en alternance chez nous…eh bien, que ces gens là, leurs successeurs puissent découvrir nos métiers, faire en sorte de visualiser ça. Et donc, c’est ça l’objectif de cette vidéo c’est d’essayer de donner envie et de donner à voir.

Alors justement, plusieurs d’entre nous ont voulu vous poser des questions aujourd’hui. Et on va commencer tout de suite si vous voulez bien par Jean-Baptiste, qui vous a enregistré cette petite vidéo, je vous laisse la visionner …

Monsieur le Directeur général, notre administration compte plus de 50 métiers. Quel est selon vous le métier le plus original à la DGFiP ?

Alors y’a beaucoup de métiers… il a raison Jean-baptiste, ya beaucoup de métiers à la DGFiP. Plus de 50, probablement même plus car en réalité on en oublie toujours. Alors si on va chercher les métiers originaux, y’en a notamment dans le domaine du cadastre, du foncier, avec les géomètres. Et puis y’a aussi des métiers dans la gestion des successions en déserrance. Par exemple quand y’a pas d’héritier, y’a des gens qui vont gérer les successions dans la durée. Ou par exemple, dans les ventes aux enchères puisqu’il y a des commissaires aux ventes : on fait régulièrement, la direction nationale fait des ventes de biens, parfois d’ailleurs très originaux. Ça peut être des voitures de luxe qui ont été prises sur des malfrats, ça peut être des bijoux, ça peut être des vieux vins, ou ça peut être des œuvres d’art. Et, ya des commissaires aux ventes chez nous.

D’accord, très bien. Alors maintenant je vais laisser la parole à Chloé qui avait également une question pour vous.

Bonjour. Je m’appelle Chloé, je suis stagiaire en communication à Paris à la DGfiP. Ma cousine m’a dit qu’elle y travaillait mais à Poitiers. Est-ce que c’est possible ?

Oui, alors la DGFiP elle a la particularité d’être sur l’ensemble du territoire français. On a même des gens qui sont parfois à l’étranger, puisqu’on a des attachés fiscaux dans certaines ambassades. Et sur le territoire français on est présent dans plus de 4 000 lieux donc on peut travailler à la DGFiP à peu près partout en France et ta cousine elle a raison d’être à Poitiers.

D’ailleurs, pour rebondir sur la question de Chloé. Maintenant, que la majorité des choses se font en ligne, pourquoi y a t il encore autant de centre des Finances publiques en France ?

Alors, tu as raison sur ce point là. C’est que, à la DGFiP on travaille beaucoup sur la numérisation. D’ailleurs on a beaucoup de projets qui sont très forts sur cet angle là et… les citoyens, les contribuables ils nous disent que nos services sont plutôt de bon niveau sur le plan numérique. En même temps, on a l’ambition de laisser personne de côté.  Et.. c’est extrêmement important de pouvoir offrir des services à la fois pour des gens qui se débrouillent (comme toi, comme ceux qui savent facilement manier une tablette, un ordinateur) et puis, pour des gens qui ont plus de difficultés. Et aujourd’hui on est dans une société ou c’est extrêmement important qu’on reste présent, y compris physiquement, y compris que tu puisses entrer dans n’importe quel territoire dans un endroit ou quelqu’un physiquement peu t’accueillir, put te conseiller.  Et c’est ce qu’on essaie de faire, y compris dans les évolutions de notre réseau. On fait extrêmement attention à ce que cette possibilité reste ouverte et on est de fait, un des services publics aujourd’hui les plus implantés sur le territoire.

D’accord. Alors maintenant je laisse la parole à Halim, qui avait également une question pour vous.

Bonjour Monsieur Fournel. Je suis Halim, inspecteur des finances publiques exerçant actuellement au contrôle fiscal. On dit beaucoup aujourd’hui que l’administration est lente et rigide. Est-ce vrai ?

On a forcément des défauts mais je vais te donner un exemple qui montrera qu‘on est également très très réactifs. Au début de la crise COVID, tout s’est fermé, on nous a demandé de rester chez nous, bien sur pour les entreprises c’était extrêmement compliqué. Et on, le Gouvernement, a demandé à la DGFiP de monter un fond de solidarité pour aider les PME. A la fin, il a versé à plus de 2 millions d’entreprises, plus de 40 milliards d’euros de subventions. Et ça sur des mois et des mois. Et bien le fonds, il a été monté en 15 jours. Et en 15 jours on a été capable de l’ouvrir, de faire en sorte qu’il y ait une page d’accueil, un formulaire à remplir, un truc très simple et puis derrière qu’on soit capable de réagir. Même dans des cas qu’on a vécu cet été par exemple avec les incendies, et bien on est capable de monter une hotline pour aider les gens qui sont en difficulté là aussi dans des délais de quelques jours, parfois même dans la journée. Donc on sait être très réactif et objectivement aujourd’hui l’agilité de la DGFiP ça fait partie des choses qui lui sont assez fortement reconnu.

Et euh les Finances publiques, on sait que c’est une très grande administration française… Et lorsqu’on y travaille y a t il un dress code à respecter ?

Oh bah j’ai pas l’impression qu’il y a un dresse code là. Non euh je dirais la seule….je dirais la seule limite je dirais c’est le respect qu’on doit aux autres ça c’est sur. Mais objectivement, moi je me balade beaucoup dans les services et je peux dire qu’il y a pas de dress code à la DGFiP. Promis. D’accord (rires)

Alors maintenant je laisse la parole à Caroline.

Bonjour Monsieur le directeur général, je voudrais savoir de tous les projets que vous avez eu à développer, duquel sujet êtes vous le plus fier ?

Y a une chose qui me rend assez fier c’est quand les concitoyens qui sont des usager du service public, ils disent la DGFiP ça fonctionne bien. Et d’une certaine manière c’est ça qui me rend le plus fier, c’est quand le regard extérieur qu’on porte sur nous, il est favorable et qu’on nous dit vous faites bien votre job. C’est ce qu’on essaie de faire et je crois qu’on ne le fait pas si mal que ça vu ce qu’ils nous disent.

Alors maintenant, on a une autre question, qui a été également enregistrée par Margaux. Je vous laisse la visionner.

Margaux (tablette) : Bonjour Monsieur, je m’appelle Margaux, j’ai récemment obtenu le concours d’IFIP. Dans les locaux des Finances publiques, on peut voir des affiches originales sur le thème du recyclage… Etes-vous sensible à l’écologie ?

Bon sujet. Ce qu’on a fait c’est qu’on a lancé maintenant depuis 3 ans, une démarche de ce qu’on a appelé « ecofip », pour l’incarner au sein de la maison, qui était justement une démarche d’attention à ces sujets, qui en réalité couvrait deux euhhhhh deux thèmes : d’une part je dirais, essayer de travailler sur tout ce qui peut être des facteurs favorables à l’environnement, réutilisables, bornes électriques, garage à vélo etc. tout ça pour développer d’une certaine manière des pratiques qui sont conscientes de l’environnement. Et puis 2 : on s’est lancé dans un grand exercice, on a été les premiers à le faire de bilan de nos gaz à effet de serre. Et donc, l’ambition c’est d’à la fois faire le point de départ, et ensuite de se donner une trajectoire pour nous aussi être dans une trajectoire 0 carbone à un horizon de quelques années. Donc Oui, on y est extrêmement sensible.

Alors, pour continuer ce petit tour de table, je laisse la parole à Yasmine.

Bonjour Monsieur Fournel. En intégrant la DGFiP, quelque chose m’a frappée, c’est la diversité des métiers en informatique. Je vois aussi que les Finances publiques recrutent beaucoup en informatique. Donc je me demande si ça a toujours été le cas ou est-ce que c’est nouveau ?

Pourquoi ? Parce qu’on manie énormément de données, parce qu’on a des process qui naturellement…qui peuvent être très utiles de faire basculer sur du numérique et sur de l’informatique. Aujourd’hui on est plutôt à l’époque de l’intelligence artificielle, on est plutôt dans les assistants digitaux qu’on a développé, y compris par exemple pour rempli sa déclaration en ligne, vous avez un chatbot qui répond, récemment la presse s’est faite l’écho d’un programme d’intelligence artificielle qu’on a développé pour repérer directement qui des piscines, des abris de jardin qui auraient été mis là et pas taxé comme ils doivent l’être. Donc on a un énorme travail la dessus et on a besoin énormément, on a besoin de talents partout, mais dans ce domaine là c’est certain, on continuera à avoir un énorme besoin de talents. Et aujourd’hui on est un des gros recruteurs de talents informatiques, de talents numériques, dans absolument tous les domaines.

Alors je remercie tout le monde d’avoir participé à ce petit tour de table. Et je vous remercie Monsieur Fournel du temps que vous nous avez accordé pour répondre à toutes nos questions. Et bah c’est moi qui vous remercie beaucoup et bonnes suites à la DGFiP ! Merci !

Cette interview est maintenant terminée. J’espère qu’elle vous aura plu et à bientôt.

Raison 1 - Trouver du sens

10 bonnes raisons de rejoindre les Finances publiques

Raison 1 – Trouver du sens

Alors, bonjour Monsieur Fournel, (Bonjour!) pouvez-vous vous présenter en quelques mots, s’il vous plait ?

Oui. Bien sur. Je suis Jérôme Fournel, Directeur général des Finances publiques. Je suis à la tête de cette grande administration, près de 100 000 agents et.. c’est une administration assez formidable. J’ai été nommée à la tête de cette administration, c’était à la fois pour être au cœur du fonctionnement de l’état, du fonctionnement du pays parce qu’elle est au cœur de tous les fonctionnements financiers du pays. Et puis c’est une kyrielle de métiers, plein de sujets passionnants à explorer.

 

Raison 3 - La variété des métiers

10 bonnes raisons de rejoindre les Finances publiques

Raison 3 – La variété des métiers

Jean-Baptiste, Apprenti en gestion publique (Loir-et-Cher) : Monsieur le Directeur général, notre administration compte plus de 50 métiers. Quel est selon vous le métier le plus original à la DGFiP ?

Alors y’a beaucoup de métiers… il a raison Jean-baptiste, ya beaucoup de métiers à la DGFiP. Plus de 50, probablement même plus car en réalité on en oublie toujours.  Alors si on va chercher les métiers originaux, y’en a notamment dans le domaine du cadastre, du foncier, avec les géomètres. Et puis y’a aussi des métiers dans la gestion des successions en déserrance. Par exemple quand y’a pas d’héritier, y’a des gens qui vont gérer les successions dans la durée. Ou par exemple, dans les ventes aux enchères puisqu’il y a des commissaires aux ventes : on fait régulièrement, la direction nationale fait des ventes de biens, parfois d’ailleurs très originaux. Ça peut être des voitures de luxe qui ont été prises sur des malfrats, ça peut être des bijoux, ça peut être des vieux vins, ou ça peut être des œuvres d’art. Et, ya des commissaires aux ventes chez nous.

Nos atouts

Une présence sur tout le territoire

Implantées dans près de 2700 collectivités, les Finances publiques sont présentes partout en France, en Outre-mer et même à l’étranger. Il est possible de travailler à peu près partout sur le territoire.

La diversité des métiers

Avec plus de 50 métiers, la direction générale des Finances publiques est une grande administration avec des missions passionnantes et variées, au service des citoyens. Si on pense souvent aux impôts ou à la lutte contre la fraude, notre action est plus large et comprend aussi du juridique, de la comptabilité, de l’accompagnement d’élus locaux, des ressources humaines, de l’immobilier de l’État, ou encore de l’informatique.

Des emplois pour tous

Les métiers de la direction des Finances publiques sont, par principe, accessibles par concours. Mais dans certains cas, la DGFiP peut recruter des agents contractuels (CDD et CDI). Que l’on soit salarié du secteur privé, étudiant, en recherche d’emploi, personnes en situation de handicap, et quel que soit le niveau de qualification, les Finances publiques offrent de réelles opportunités professionnelles partout sur les territoires.

Un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle

La DGFiP s’inscrit dans une démarche de transformation de ses méthodes de travail, et a ainsi développé le télétravail. Les agents ont la possibilité de faire ce choix jusqu’à trois jours par semaine selon des modalités souples et dans des conditions qui respectent le droit à la déconnexion.

Une administration éco-responsable

La DGFiP est un service public éco-responsable, ayant lancé sa propre démarche baptisée « EcoFiP » avec plusieurs actions orientées vers la protection de l’environnement et notamment la lutte contre le réchauffement climatique. En 2022, la DGFiP a réalisé son bilan des émissions de gaz à effet de serre et met en œuvre un plan de transition qui constituera sa feuille de route à moyen terme pour réduire massivement ses émissions.

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