
Thèse (H/F) : Étude et modélisation des interactions entre aérosols de feux de biomasse, convection pro
Référence : UMR3589-MARMAL-002
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
- Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
- Localisation : 31057 TOULOUSE (France)
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
- Nature du contrat Non renseigné
- Expérience souhaitée Non renseigné
-
Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels La rémunération est d'un minimum de 2200,00 € mensuel € brut/an Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Non renseigné
- Télétravail possible Non renseigné
Vos missions en quelques mots
Sujet de thèse :
En Afrique centrale équatoriale, la convection profonde joue un rôle clé dans l'équilibre énergétique et le cycle de l'eau, en produisant une grande partie des précipitations. La saisonnalité des précipitations, en particulier la durée des saisons sèches et humides, l'intensité et la quantité des précipitations sont des paramètres clef de la composition et la structure des forêts d’Afrique Centrale. A l’échelle globale, cette région représente environ 50 % des aérosols issus de la combustion de biomasse, principalement émis pendant la saison sèche de juin à septembre. Ces aérosols ont un impact important sur le cycle hydrologique et le bilan radiatif, à la fois directement et indirectement, par le biais de modifications du rayonnement solaire, de la stabilité atmosphérique, des processus de convection ainsi que des propriétés nuageuses. Le but de cette thèse est donc d’étudier l'impact des aérosols émis par les feux de biomasse sur les propriétés thermodynamiques de la troposphère, des nuages et de la convection en Afrique Centrale. Ces interactions seront étudiées à l'aide de la modélisation régionale à haute résolution en lien avec les mesures in-situ qui seront obtenues dans le cadre d'une campagne de terrain en Afrique Centrale (projet BACCOPA). En parallèle, les données satellitaires seront également utilisées pour évaluer les exercices de modélisation.
Contexte :
Le but de cette thèse est d’étudier l'impact des aérosols émis par les feux de biomasse sur les propriétés thermodynamiques de la troposphère, des nuages et de la convection en Afrique Centrale.
En Afrique centrale équatoriale, la convection profonde joue un rôle clé dans l'équilibre énergétique et le cycle de l'eau, en produisant une grande partie des précipitations. La saisonnalité des précipitations en particulier la durée des saisons sèches et humides, l'intensité et la quantité des précipitations sont des paramètres clef de la composition et la structure des forêts d’Afrique Centrale. A l’échelle globale, cette région représente environ 50 % des aérosols issus de la combustion de biomasse, principalement émis pendant la saison sèche de juin à septembre [Van der Werf et al., 2006]. Ces aérosols ont un impact important sur le cycle hydrologique et le bilan radiatif, à la fois directement et indirectement, par le biais de modifications du rayonnement solaire, de la stabilité atmosphérique, des processus de convection ainsi que des propriétés nuageuses. La difficulté associée à l'étude de ces impacts est liée aux nombreux processus complexes impliquant les aérosols, et qui interviennent à différentes échelles spatiales et temporelles. Actuellement, ces interactions entre les aérosols et les systèmes convectifs restent l'une des principales sources d'incertitude dans la compréhension de l’effet radiatif indirect des aérosols sur le climat.
Le premier processus important est directement lié à la capacité des aér
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Profil recherché
Contraintes et risques :
Pas de contrainte particulière. Travail sur écran.
Niveau d'études minimum requis
- Niveau Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents
- Spécialisation Formations générales
Langues
- Français Seuil
Qui sommes-nous ?
Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16 000 chercheurs et plus de 16 000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.
Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.
Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
À propos de l'offre
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Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
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Vacant
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Chercheuse / Chercheur