
Adjoint au chef de la section contre-terrorisme (SNRP3)
Référence : 2025-2006705
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
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Employeur :
Direction de l'administration pénitentiaire - Administration Centrale
Ministère de la justice Direction de l'administration pénitentiaire Service national du renseignement pénitentiaire (SNRP) Bureau de l'investigation et de l'analyste (SNRP3) - Localisation : 35 rue de la Gare, 75019 PARIS
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert aux titulaires et aux contractuels
- Expérience souhaitée Non renseigné
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Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels Non renseignée Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Oui
- Télétravail possible Oui
Vos missions en quelques mots
Composé d’une équipe pluridisciplinaire d’analystes, la section « contre-terrorisme » revêt une double mission :
- Assurer un suivi individuel des objectifs du service, en matière de prévention du terrorisme et de la radicalisation ;
- Mener des investigations sur des projets/individus porteurs de menaces terroristes.
L’adjoint au chef de la section contre-terrorisme est chargé d’assurer les périodes d’intérim, de seconder le chef de section dans ses missions et d’exercer plus spécifiquement les missions qui lui seront confiées par le chef de section, sous la responsabilité duquel il est placé.
Outre les fonctions classiques d’adjoint au chef de section (management, gestion de service, animation de réunion, etc.), il est attendu de l’adjoint au chef de section qu’il pilote les investigations en cours, supervise les suivis des objectifs en cours et apporte son concours aux échelons régionaux dans son domaine de compétence. Il peut également être amené à représenter le service auprès des services partenaires et à intervenir dans des actions de formation.
Profil recherché
Connaissances :
- Solides connaissances du fonctionnement des établissements pénitentiaires et SPIP et de la règlementation pénitentiaire
Savoir-faire :
- Aptitude à travailler en transversalité et en équipe : avec les services centraux et déconcentrés de l’AP, les services partenaires extérieurs de sécurité (police, gendarmerie, douane etc.) et de renseignement et les autorités judiciaires
- Capacité d’organisation, d’adaptation et d’autonomie
- Esprit de synthèse et très bonnes qualités rédactionnelles
Savoir être :
- Grande disponibilité
- Discrétion professionnelle
- Très bonnes qualités relationnelles
Offres de formation associées à votre prise de poste :
Une offre de formation d’adaptation à l’emploi est proposée par le SNRP ainsi qu’un catalogue de formation continue tout au long de la carrière de l’agent.
Perspectives d’évolution professionnelle :
Des mobilités internes au Service peuvent être envisagées, qu’elles soient fonctionnelles ou géographiques, à l’issue des deux premières années de poste.
Éléments de candidature
Personnes à contacter
Qui sommes-nous ?
Service de renseignement au sens de l’article L. 811-4 du code la sécurité intérieure depuis le 1er février 2017, le service national du renseignement pénitentiaire est constitué d’un échelon central au sein de la direction de l’administration pénitentiaire, des dix cellules interrégionales du renseignement pénitentiaires (CIRP) au sein des directions interrégionales des services pénitentiaires, des délégations locales au renseignement pénitentiaire dans les établissements et des cadres référents du renseignement pénitentiaire au sein de SPIP.
Depuis le 15 juin 2019, le renseignement pénitentiaire, restructuré sous forme de service à compétence nationale, est placé sous l’autorité hiérarchique directe du directeur de l’administration pénitentiaire. Dès lors, l’échelon central du service du renseignement pénitentiaire est chargé d’animer et de superviser, au niveau national, les actions des unités déconcentrées du renseignement pénitentiaire.
Descriptif du service
Service de renseignement au sens de l’article L. 811-4 du code la sécurité intérieure depuis le 1er février 2017, le service national du renseignement pénitentiaire est constitué d’un échelon central au sein de la direction de l’administration pénitentiaire, des dix cellules interrégionales du renseignement pénitentiaires (CIRP) au sein des directions interrégionales des services pénitentiaires, des délégations locales au renseignement pénitentiaire dans les établissements et des cadres référents du renseignement pénitentiaire au sein de SPIP. Depuis le 15 juin 2019, le renseignement pénitentiaire, restructuré sous forme de service à compétence nationale, est placé sous l’autorité hiérarchique directe du directeur de l’administration pénitentiaire. Dès lors, l’échelon central du service du renseignement pénitentiaire est chargé d’animer et de superviser, au niveau national, les actions des unités déconcentrées du renseignement pénitentiaire.
Le renseignement pénitentiaire repose sur la collecte, le traitement et la diffusion d’informations en lien avec les risques d’atteinte à la sécurité de l’administration pénitentiaire, aux intérêts de la société, sous des finalités légalement encadrées de prévention contre le terrorisme, de prévention contre la criminalité et la délinquance organisés, et de prévention contre les évasions, de maintien de la sécurité et du bon ordre dans les établissements pénitentiaires.
À propos de l'offre
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Transmettre lettre de motivation et CV
Groupe RIFSEEP : 4A
Restauration : restaurant administratif sur place
Accessibilité en transport / Parking : RER, métro, bus / parking souterrain pour voitures et vélos
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Poste soumis à une habilitation au Secret de la défense nationale OUI ✔ NON ☐
Le poste nécessitant d'accéder à des informations relevant du secret de la défense nationale, l'agent non titulaire fera l'objet d'une procédure d'habilitation, au niveau très secret, conformément aux dispositions des articles R.2311-1 et suivants le Code de la défense et de l'IGI 1300 SGDSN/PSE du 09 août 2021. L'obtention de cette habilitation revêt un caractère obligatoire. Le maintien d'un agent au sein du service est conditionné statutairement par son habilitation au secret de la défense nationale.
Le titulaire de ce poste est soumis à l’ordonnance n° 58-696 du 6 août 1958 modifiée, relative au statut spécial des fonctionnaires des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire ; et au décret n° 66-874 du 21 novembre 1966 modifié, relatif au statut spécial des fonctionnaires des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire.
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Susceptible d'être vacant à partir du 01/11/2025
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Chargée / Chargé de la protection du renseignement