
Chargé(e) de mission recherche et sauvetage en mer
Référence : 2025-1850068
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
- Employeur : Direction Générale Des Affaires Maritimes, de la Pêche et de l'Aquaculture (DGAMPA)
- Localisation : TOUR SEQUOIA 92055 PARIS LA DEFENSE CEDEX
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert aux titulaires et aux contractuels
- Expérience souhaitée Non renseigné
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Rémunération (fourchette indicative pour les contractuels) Non renseigné
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Non
- Télétravail possible Oui
Vos missions en quelques mots
Le bureau du sauvetage et de la surveillance du trafic maritime et portuaire (SNC1) est rattaché à la sous-direction du sauvetage, de la navigation et du contrôle (SNC) du service des espaces maritimes et littoraux (SEML) de la direction générale des affaires maritimes de la pêche et de l'aquaculture (DGAMPA).
Le bureau assure le soutien des 7 centres régionaux opérationnels de sauvetage et de surveillance (CROSS) et des 2 centres de secours maritime (COSS Nouvelle-Calédonie et JRCC Tahiti). Il supervise le fonctionnement du centre français de contrôle de mission Cospas-Sarsat localisé à Toulouse. Il est en relation avec les services en charge de l'action de l'État en Mer et l'administration maritime.
Le bureau est également chargé de la mise en oeuvre de la réglementation relative au fonctionnement des capitaineries des 28 ports décentralisés où l'État exerce l'autorité investie du pouvoir de police portuaire. Il est composé de 10 cadres A et 2 catégories B.
Le ou la chargé(e) de mission est placé(e) sous l'autorité hiérarchique du chef du bureau, il ou elle travaille en collaboration avec les autres chargés de mission. Il ou elle peut être amené(e) à représenter la DGAMPA au sein de groupe de travail à l'OMI ou dans diverses instances.
Le ou la chargé(e) de mission traite des aspects opérationnels et réglementaires relatifs à la recherche et au sauvetage en mer et à la diffusion des renseignements de sécurité maritime et portuaire ; à ce titre, il ou elle :
- Prépare la doctrine opérationnelle en matière de recherche et sauvetage en mer ;
- Garantit la diffusion de procédures harmonisées entre les services de secours qui interviennent dans les zones d'interface terre/mer (dont les ports) ;
- Participe aux réunions des instances internationales en charge du sauvetage en mer (dont l'OMI) ;
- Est le correspondant des partenaires opérationnels et institutionnels centraux pour les sujets relatifs à la recherche et au sauvetage (SGMer, DGSCGC, SNSM, Météo France, FMCC...)
- Anime le réseau des chefs des services des opérations des CROSS ;
- Produit des notes, analyses et réponses aux questions parlementaires pour les sujets relatifs au sauvetage en mer ;
- Réalise les analyses statistiques dans le domaine du sauvetage en mer ;
- Prépare des documents de communication.
Profil recherché
Le chargé de mission doit disposer des qualités suivantes :
- Capacité relationnelle et de communication ;
- Qualités d'organisation, de planification et de rigueur pour piloter plusieurs chantiers en simultané ;
- Capacité d'écoute et à fédérer (animation de réseau) ;
- Curiosité, goût du changement et bonne capacité d'adaptation à un environnement complexe.
Un cadre disposant d'une expérience en CROSS, en service déconcentré ou en administration centrale, et d'une appétence particulière pour les sujets technico-opérationnels à forts enjeux serait un plus.
Un cadre fonctionnaire ou contractuel disposant d'une culture maritime et d'une expérience dans la gestion opérationnelle des interventions de services d'urgence ou de secours serait un plus.
Éléments de candidature
Documents à transmettre
Personnes à contacter
Qui sommes-nous ?
Nos missions
La direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA) est une administration centrale tournée vers le développement durable des activités maritimes et littorales. Elle soutient et anime une administration maritime de 2 950 agents, en administration centrale et dans les services déconcentrés, répartis sur toutes les façades maritimes françaises, tant dans l’Hexagone que dans les outre-mer. Au service de l’ensemble de la communauté maritime, la DGAMPA élabore et coordonne la mise en œuvre de la stratégie nationale de la mer et du littoral, réaffirmant la place de la mer au sein des politiques publiques. Grâce à la planification maritime, elle organise le partage de l’espace maritime en conciliant des usages de plus en plus variés (des énergies marines renouvelables aux câbles sous-marins en passant par le transport maritime, la pêche ou encore le nautisme), tout en veillant à une meilleure protection de nos écosystèmes marins.
Nos enjeux essentiels
Présente sur tous les océans du monde, la France bénéficie d’un ensemble d’écosystèmes marins et littoraux particulièrement riche et diversifié. L’espace maritime français s’étend sur plus de 10 millions de km² – plus de 20 fois la surface de la métropole – dont 97 % se situent outre-mer. La France abrite également la quatrième plus grande surface de récifs coralliens au monde. Particulièrement dynamique, l’économie bleue représente quant à elle près de 700 000 emplois directs et indirects et rassemble des secteurs économiques variés tels que les transports et services maritimes, la croisière, la pêche, la conchyliculture, la plaisance, les loisirs nautiques et le tourisme littoral, les services off-shore, l’industrie navale et nautique ou les ports. Elle inclut aussi de nombreux secteurs émergents tels que les biotechnologies bleues et les énergies marines renouvelables.
Nos 9 politiques publiques :
- soutenir et promouvoir le développement du pavillon national et de la compétitivité des entreprises françaises de transport et de service maritimes
- organiser et planifier le développement durable de l’économie maritime, coordonner les politiques d’intervention territoriale relatives à la mer et à la gestion intégrée des zones côtières ;
- conduire la feuille de route de décarbonation du maritime, animer et coordonner les politiques en matière de recherche et d’innovation maritimes, contribuer au développement de l’industrie nautique et navale ;
- élaborer et mettre en œuvre la politique de sécurité et de sûreté des navires, de lutte contre les pollutions par les navires, de signalisation (phares et balises) et de sauvetage en mer ;
- coordonner la mise en œuvre des politiques de surveillance et de contrôle relatives à la navigation maritime, à la pêche ou encore à l’environnement marin ;
- définir et mettre en œuvre la politique de gestion durable des ressources halieutiques, des produits de la mer et de l’aquaculture marine et continentale ; assurer les négociations communautaires et internationales dans ces domaines ;
- conduire la politique de formation maritime et de l’emploi des gens de mer, définir la politique relative à la réglementation du travail et aux conditions de travail à bord des navires, à la prévention des risques professionnels des gens de mer et à la protection sociale des gens de mer ;
- réglementer et encadrer la pratique des activités maritimes, y compris nautiques et de plaisance ;
- contribuer aux politiques relatives au tourisme, à la pratique des sports nautiques ou encore à la protection du patrimoine maritime.
À propos de l'offre
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M. Hervé METAYER, chef du bureau du sauvetage et de la surveillance du trafic maritime et portuaire.
Mail : herve.metayer@mer.gouv.fr
Mobile : 0626280395
RH
mobilites.mvsrh2@mer.gouv.fr
Numéro de poste : 12VA020018 -
Le ou la chargée(e) de mission est soumis(e) aux dispositions statutaires d'un agent en administration centrale. Il ou elle dispose d'un ordinateur portable avec sa station d'accueil, d'un poste téléphonique et d'un téléphone mobile.
Il ou elle est amené(e) à réaliser des déplacements en métropole et à l'étranger.
Le télétravail est possible dans la limite des règles applicables à la DGAMPA.
Groupe de fonction suivant la catégorie du candidat :
AAE 4
ITPE 4 -
Ce poste est ouvert à tout candidat compétent, qu'il soit fonctionnaire ou non. Le recrutement d'un candidat non fonctionnaire se ferait sur le statut de contractuel, a priori pour un contrat de 3 ans (à confirmer avec le recruteur), après constat de l'absence de candidature de fonctionnaire adaptée (fondement juridique : 2° de l'article L.332-2 du code général de la fonction publique de L'État). A l'issue du contrat de 3 ans, il est envisageable de poursuivre en CDI ou par un autre contrat de 3 ans, sous réserve de l'accord des parties.
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Susceptible d'être vacant
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Responsable sectorielle / sectoriel