
Chercheur (H/F) en modèle génératif appliqué à la simulation de calorimètre pour la physique des partic
Référence : UMR9012-MARLOU-057
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
- Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
- Localisation : 91405 ORSAY (France)
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
- Nature du contrat Non renseigné
- Expérience souhaitée Non renseigné
-
Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels De 3081 € à 3519 € bruts mensuels selon expérience € brut/an Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Non renseigné
- Télétravail possible Non renseigné
Vos missions en quelques mots
Missions :
Le post-doctorant travaillera au sein de l'équipe de développement logiciel du laboratoire IJCLab, en collaboration avec les représentants locaux de l'expérience ATLAS du LHC. Il développera un algorithme de modèle génératif avancé pour la simulation de calorimètres (en s'appuyant sur la littérature existante et les preuves de concept). Le travail sera supervisé par David Rousseau.
Dans le cadre du Grand Collisionneur de Hadrons et des futurs collisionneurs ILC et FCC, l'utilisation des ressources pour la simulation des détecteurs, en particulier la simulation des calorimètres, a été identifiée comme un goulot d'étranglement. Cette tâche délicate est traditionnellement effectuée avec Geant4, qui suit les milliers de particules secondaires à travers un détecteur virtuel finement décrit pour chaque particule entrante. La communauté de la physique des hautes énergies s'est lancée dans l'émulation de la simulation Geant4 avec des modèles génératifs, initialement des GAN et des VAE, plus récemment des modèles de diffusion ou des architectures hybrides dédiées. La question de la simulation des queues de distribution sur plusieurs ordres de grandeur, et des événements rares, a reçu peu d'attention jusqu'à présent. Le projet GenCaloSimExtreme vise à se concentrer sur la description des queues de distribution et à proposer de nouveaux hyper-parametres, ou une étape de post-traitement de fine-tuning. Cela est obligatoire pour le déploiement de ces modèles dans les grandes collaborations
Les architectures de pointe actuelles et les ensembles de données ouverts seront examinés, avec un accent particulier sur la description des queues de distribution/événements rares. Une attention particulière sera accordée à la validation approfondie de l'algorithme avec des caractéristiques informées par la physique.
Activités :
Le post-doctorant sera responsable des activités spécifiques suivantes :
• Développer des algorithmes de simulation innovants pour les calorimètres dans le contexte de la physique des hautes énergies, avec un accent particulier sur la description des queues de distribution/événements rares.
• Communiquer sur ce travail via des rapports écrits et des présentations orales au sein de la communauté de la physique des hautes énergies, par le biais d'articles et de présentations lors de conférences.
Le résultat attendu est un algorithme génératif pleinement fonctionnel, avec une description améliorée des queues de distribution/événements rares par rapport à l'état de l'art.
Contexte de travail :
Le Laboratoire de Physique des 2 Infinis Irène Joliot-Curie (IJCLab) est une unité mixte de recherche (UMR) sous la supervision du CNRS (IN2P3), de l'Université Paris-Saclay et de l'Université de Paris. Il est situé sur le campus de l'Université Paris-Saclay à Orsay. Le campus se trouve à 20 km au sud de Paris et est accessible en RER en 35 minutes.
IJCLab est né en 2020 de la fusion de cinq unit
Voir plus sur le site emploi.cnrs.fr...
Profil recherché
Competences :
Les candidats doivent être titulaires d'un doctorat en physique des particules ou en informatique.
Les candidats doivent avoir une expérience préalable en simulation de détecteurs ou en modèles génératifs appliqués à la modélisation scientifique. Une expérience en simulation de calorimètres avec des modèles génératifs serait un plus.
Les candidats doivent également démontrer des compétences en travail d'équipe et une capacité à s'intégrer dans un environnement scientifique multidisciplinaire. En particulier, ils doivent être capables de communiquer leurs résultats à leurs pairs tout en suivant la rigueur de pensée et les normes éthiques attendues dans un projet scientifique de grande envergure. Toute preuve concrète de ces compétences, y compris des publications évaluées par des pairs et des présentations lors de conférences, sera grandement appréciée.
Enfin, compte tenu de la nature internationale de ce projet et de la physique des particules en général, une bonne maîtrise de l'anglais est requise.
Contraintes et risques :
Niveau d'études minimum requis
- Niveau Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents
- Spécialisation Formations générales
Langues
- Français Seuil
Qui sommes-nous ?
Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16 000 chercheurs et plus de 16 000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.
Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.
Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
À propos de l'offre
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Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
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Vacant
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Chercheuse / Chercheur