
Doctorant (H/F) en modélisation hydrologique
Référence : UMR7063-HELCLA-002
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
- Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
- Localisation : 67084 STRASBOURG (France)
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
- Nature du contrat Non renseigné
- Expérience souhaitée Non renseigné
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Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels La rémunération est d'un minimum de 2200,00 € mensuel € brut/an Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Non renseigné
- Télétravail possible Non renseigné
Vos missions en quelques mots
Sujet de thèse :
Les travaux du projet EAU-SPRA à l’ITES s’articule autour du modèle hydrologique NIHM, qui est développé en interne depuis une dizaine d’années dans l’équipe Transferts dans les Hydrosystèmes Continentaux (TrHyCo) de l’Institut Terre et Environnement de Strasbourg. Il est composé de deux modules - un premier qui détermine la recharge en réalisant des bilans d’eau et d‘énergie dans les compartiments de surface et un second qui permet de décrire les écoulements dans les nappes souterraines et le réseau hydrographique – et a été appliqué sur plusieurs systèmes réels.
L’objectif de ce travail de thèse est de développer, d’implémenter et de tester une approche de paramétrisation automatique du modèle NIHM. Cette approche devra permettre de générer des champs de paramètres hydrodynamiques réalistes (transmissivité et porosité de l’aquifère, termes d’échange nappe-rivière, par exemple), en minimisant l’écart entre des observations – niveau d’eau dans la rivière et/ou niveau piézométrique – et les simulations, en ajustant les paramètres les plus influents du modèle.
I. S’approprier le modèle NIHM
II. Réaliser une étude bibliographique sur les méthodes de paramétrisation automatique
III. Etudier plus en détail les approches déjà utilisées dans l’équipe dans des contextes différentes – i.e. méthodes de l’état adjoint, utilisation de méta-modèles, … La personne recrutée pourra utiliser des outils existants sur des cas simples pour mieux comprendre les concepts de base.
IV. Développer et implémenter l’approche de calibration automatique choisie. Elle pourra alors être testée sur un cas synthétique.
V. Appliquer cette approche sur un cas réel à choisir en fonction de la disponibilité des données et du temps de calcul associé.
L'étudiant(e) sera rattaché à l'ED 413
Contexte :
La modélisation hydrologique à base physique permet de décrire l’ensemble des processus d’écoulement dans les bassins versants en intégrant les interactions entre les principaux compartiments que sont le milieu souterrain, la surface topographique, la végétation et l’atmosphère. Ce type de modèles est développé dans la communauté depuis le début des années 2000. Les modèles à base physique sont aujourd’hui considérés comme des outils pertinents pour traiter de nombreuses problématiques en lien avec la gestion des masses d’eau de surface et/ou souterraines. C’est dans ce cadre que le projet EAU-SPRA a été financé par l’ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie). L’objectif de ce projet – mené en collaboration entre ANTEA Group, les Mines de Paris et l’Institut Terre et Environnement de Strasbourg (ITES) - est de développer une plateforme s’appuyant sur les résultats de plusieurs modèles hydrologiques pour permettre aux gestionnaires et aux grands usagers de visualiser de façon relativement simple l’évolution quantitative des masses d’eau sur leur territoire. Trois verrous scientifiques en lien av
Voir plus sur le site emploi.cnrs.fr...
Profil recherché
Contraintes et risques :
Contraintes liées aux sorties de terrain
Niveau d'études minimum requis
- Niveau Niveau 7 Master/diplômes équivalents
- Spécialisation Formations générales
Langues
- Français Seuil
Qui sommes-nous ?
Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16 000 chercheurs et plus de 16 000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.
Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.
Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
À propos de l'offre
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Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
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Vacant
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Chercheuse / Chercheur