
Doctorante en biologie cellulaire (H/F)
Référence : UMR5305-JEAMAL-003
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
- Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
- Localisation : 69367 LYON 07 (France)
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
- Nature du contrat Non renseigné
- Expérience souhaitée Non renseigné
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Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels La rémunération est de 2200,00 € brut par mois € brut/an Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Non renseigné
- Télétravail possible Non renseigné
Vos missions en quelques mots
Sujet de thèse :
Les récepteurs au domaine discoidin (DDR) 1 et 2 régulent des procédés biologiques essentiels et l’homéostasie des tissus par leur interactions avec le collagène, la protéine la plus abondant du corps humain. La dérégulation de ces récepteurs est associée au déclenchement ou à la progression de nombreuses pathologies, dont l’insuffisance rénale, la fibrose, les maladies cardiovasculaires, l’arthrose ou le cancer. Cela fait de DDR1 et DDR2 des cibles thérapeutiques extrêmement intéressantes pour la prévention ou le traitement de maladies représentant un enjeu clinique majeur. Toutefois, les principes actifs ciblant DDR1 ou DDR2 sont non spécifiques et résultent en d’importants effets secondaires. Les DDRs restent des récepteurs au collagène peu étudiés, et peu de progrès ont été accomplis pour déterminer les mécanismes d’activation distincts pour DDR1 ou DDR2. Pour répondre à ces problèmes, nous proposons de rassembler chercheurs qui partagent un intérêt pour les DDRs pour diriger un projet avec une approche biomimétique. D’abord, des peptides triple hélices (THPs) mimant les sites de liaisons clés du collagène seront utilisés pour décrypter les interactions spécifiques à DDR1 ou DDR2 et le collagène. Ensuite, les ligands THPs spécifiques pour DDR1 ou DDR2 seront criblés pour identifier de nouveaux principes actifs pour traiter les pathologies associées à ces récepteurs. Plus particulièrement, nous ciblerons DDR2 pour la prévention de l’arthrose, une source croissante d’invalidité avec plus de 300 millions de patients dans le monde ; et DDR1 pour bloquer la progression et la rechute des glioblastomes, le type de cancer du cerveau le plus répandu et agressif, avec un taux de survie de 10% dans les 5 ans après le diagnostic.
Contexte :
Ce projet fait partie d’une collaboration internationale entre le Laboratoire de Biologie Tissulaire et d’Ingénierie thérapeutique (Lyon, France), Imperial College London (Royaume-Uni) et l’Université de Bayreuth (Allemagne). Il rassemble des expertises dans les domaines de la biologie structurale, la biologie moléculaire et l’ingénierie tissulaire.
Le poste est situé au LBTI (CNRS) à l’IBCP (Institut de la Biologie et Chimie des Protéines) à Lyon en France.
Le doctorant ou la doctorante aura l’opportunité de visiter les laboratoires partenaires à Imperial College London et l’Université de Bayreuth au cours de la thèse, afin d’effectuer des expériences et acquérir de nouvelles compétences.
La date de commencement est prévue en Octobre 2025. Le contrat est pour 3 ans.
Profil recherché
Contraintes et risques :
Niveau d'études minimum requis
- Niveau Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents
- Spécialisation Formations générales
Langues
- Français Seuil
Qui sommes-nous ?
Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16 000 chercheurs et plus de 16 000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.
Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.
Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
À propos de l'offre
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Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
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Vacant
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Chercheuse / Chercheur