Ingénieur pour le développement de chaines de traitement des données spatiales GNSS

L’IPGP a aussi la charge de services labellisés en volcanologie, sismologie, magnétisme, gravimétrie et érosion. Notamment, les observatoires permanents de l’IPGP surveillent les 4 volcans actifs français d’outre-mer en Guadeloupe, en Martinique, à la Réunion et à Mayotte (REVOSIMA).

L’IPGP héberge des moyens de calcul puissants et des installations expérimentales et analytiques de dernière génération et bénéficie d’un soutien technique de premier plan.

Le département de la formation et des études doctorales de l’IPGP offre à ses étudiants des formations en géosciences qui associent observation, analyse quantitative et modélisation et qui reflète la qualité, la richesse et la diversité thématique des recherches menées par les équipes de l’IPGP.

Descriptif du service

Le service:

L’Equipe de Géomagnétisme travaille principalement sur l’étude du champ magnétique terrestre, c’est à dire des phénomènes naturels produisant des signaux magnétiques, mais aussi sur l’étude de l’environnement ionosphérique et de la dynamique globale de la Terre. L’équipe joue un rôle international de premier plan dans la proposition, puis l’exploitation de missions spatiales terrestres pour le suivi et l’étude du champ magnétique terrestre et de l’environnement ionosphérique. L’équipe développe des codes de modélisation et de simulations numériques avancées. Elle exploite notamment des données acquises dans des observatoires et à bord de satellites, comme ceux de la mission ESA Earth Explorer Swarm actuellement en cours, dont elle a la charge des magnétomètres absolus. L’équipe travaille désormais aussi sur la préparation de la mission NanoMagSat, une future constellation de nanosatellites financée dans le cadre du programme Scout de l’ESA, dont les objectifs scientifiques sont semblables à ceux de Swarm, mais qui sondera en outre l’environnement ionosphérique sous l’altitude des satellites. Ces travaux se font principalement dans le cadre de contrats avec les agences spatiales. Ils impliquent de fortes interactions avec les personnels de ces agences et d’industriels, ainsi qu’avec des chercheurs étrangers dans le cadre de consortiums internationaux.