• TéléchargerPDF – 42Ko

Post-doctorant (H/F) - Développement de surfaces biomimétiques pour l'étude des interactions multivalen

Référence : UMR5250-GALDUB-006

  • Fonction publique : Fonction publique de l'État
  • Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
  • Localisation : 38058 ST MARTIN D HERES (France)
  • TéléchargerPDF – 42Ko

Partager la page

Veuillez pour partager sur Facebook, Twitter et LinkedIn.

  • Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
  • Nature du contrat Non renseigné
  • Expérience souhaitée Non renseigné
  • Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels 2 991,58 - 3 417,33 € (selon expérience) € brut/an Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée
  • Catégorie Catégorie A (cadre)
  • Management Non renseigné
  • Télétravail possible Non renseigné

Vos missions en quelques mots

Missions :
Pour étudier les interactions biomoléculaires aux interfaces, nous développons des modèles biomimétiques permettant d’analyser le rôle de paramètres interfaciaux tels que la nature des récepteurs, leur mobilité latérale et leur regroupement. Ces modèles sont ensuite appliqués à des systèmes biologiques, comme dans notre exemple récent montrant que des ligands glycosaminoglycanes suffisent à promouvoir la motilité du parasite Toxoplasma gondii (Nat. Microbiol., https://www.nature.com/articles/s41564-024-01818-3 ). La conception et la caractérisation de surfaces biomimétiques modulables seront réalisées au DCM, où chaque étape — de l’assemblage des modèles à l’évaluation de la stabilité et de la spécificité des interactions — sera suivie par des techniques complémentaires (QCM-D, ellipsométrie, AFM, électrochimie). La diffusion latérale et la dynamique de regroupement seront étudiées par imagerie de fluorescence haute résolution et FRAP en collaboration avec l’IAB et le LIPHY. Enfin, l’effet de l’architecture de surface sur l’assemblage biomoléculaire sera exploré à l’échelle de la protéine individuelle et de la cellule, en combinant l’expertise du DCM et les plateformes de l’IAB pour étudier l’adhésion et la motilité de T. gondii.
Activités :
Le candidat rejoindra l’équipe I2BM au DCM, où il/elle utilisera des techniques avancées de chimie de surface et de caractérisation physicochimique (QCM-D, ellipsométrie) pour concevoir des surfaces biomimétiques bien définies et modulables. Afin de comprendre le rôle de la mobilité latérale et de la formation de clusters dans les interactions biomoléculaires, l'étude sera complétée par des expériences d'imagerie par fluorescence haute résolution et de FRAP via des collaborations avec l'IAB et le LIPHY (Grenoble).
Contexte de travail :
Le travail sera effectué dans l'équipe I2BM du DCM (Département de Chimie Moléculaire, CNRS-UGA). Les recherches de l'équipe I2BM portent sur la conception d'architectures supramoléculaires et d'interfaces fonctionnelles pour la bioanalyse, le diagnostic et les applications thérapeutiques (https://dcm.univ-grenoble-alpes.fr/research/ingenierie-et-interactions-biomoleculaires). Les travaux seront menés en collaboration avec l'IAB (Institut des Biosciences Avancées, UGA-INSERM-CNRS) dans le cadre d'un projet de recherche financé par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR, PRC « MiniToxoAd », 2024-26).
Le poste se situe dans un secteur relevant de la protection du potentiel scientifique et technique (PPST), et nécessite donc, conformément à la réglementation, que votre arrivée soit autorisée par l'autorité compétente du MESR.

Profil recherché

Competences :
Le candidat doit être motivé à intégrer une équipe de recherche interdisciplinaire. Un doctorat en chimie avec une formation en chimie physique ou en biophysique est requis. Des compétences en techniques de caractérisation de surface seraient appréciées. Une expérience dans la communication scientifique (rédaction d'articles, présentations à des conférences) est souhaitable. La langue de travail sera l'anglais ou le français.
Contraintes et risques :
Le travail expérimental comprendra l'utilisation de techniques de caractérisation acoustiques et optiques, ainsi que l'utilisation de solvants organiques. Des protocoles de sécurité standard seront mis en œuvre comme des lunettes et des gants de protection, des blouses de laboratoire et l'utilisation de hottes aspirantes.

Niveau d'études minimum requis

  • Niveau Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents
  • Spécialisation Formations générales

Langues

  • Français Seuil

Qui sommes-nous ?

Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16 000 chercheurs et plus de 16 000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.

En savoir plus sur l'employeur

À propos de l'offre

  • Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.

  • Vacant
  • Chercheuse / Chercheur

Des offres d'emplois recommandées pour vous