
Thèse (H/F) en Biologie Santé
Référence : UMR5077-JENZAN-002
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
- Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
- Localisation : 31062 TOULOUSE (France)
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert uniquement aux contractuels
- Nature du contrat Non renseigné
- Expérience souhaitée Non renseigné
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Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels La rémunération est de 2200,00 € brut mensuel € brut/an Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Non renseigné
- Télétravail possible Non renseigné
Vos missions en quelques mots
Sujet de thèse :
Rôles des microprotéines dans la reproduction et la fertilité de la drosophile
Notre équipe étudie le rôle des microprotéines dans le développement et la physiologie des animaux. Les microprotéines sont de petites protéines de moins de 100 acides aminés, codées par de petits cadres de lecture ouverts (smORF pour small ORF). Jusqu’à récemment, ces smORF étaient considérés comme non codants en raison de leur petite taille. Cependant, il a été récemment découvert que des milliers de smORF peuvent être traduits. Ces smORF, présents à la fois dans des ARN codants et non codants, produisent des microprotéines capables de réguler divers processus cellulaires et fonctions biologiques. Les microprotéines représentent ainsi un réservoir encore largement inexploré de nouveaux régulateurs du développement, de la physiologie et du métabolisme. Aujourd’hui, le microprotéome suscite un intérêt croissant au sein de la communauté scientifique, tant pour sa nouveauté que pour son potentiel thérapeutique.
L’objectif du projet de thèse est de découvrir de nouvelles microprotéines impliquées dans la régulation de la reproduction et de la fertilité, en utilisant la Drosophile comme animal modèle. En combinant des approches génétiques, protéomiques et physiologiques, le/la doctorant·e identifiera des microprotéines influençant la fertilité mâle et la reproduction. La fonction moléculaire de ces microprotéines sera ensuite étudiée in vivo afin de comprendre leur impact sur la fertilité. Pour cela, le/la doctorant·e réalisera des immunomarquages sur des tissus de Drosophile et des cellules en culture, de l’imagerie confocale, de la transgenèse par CRISPR/Cas9, ainsi que des expériences en biologie moléculaire et en biochimie.
Nous recherchons un·e candidat·e possédant de solides connaissances en biologie moléculaire et cellulaire, et un vif intérêt pour la biologie du développement. Une expérience préalable avec la Drosophile et l’imagerie confocale serait un atout. Le/la candidat.e idéal.e est organisé·e, enthousiaste, capable de prendre des initiatives et communicant aisément en anglais. Il/elle présentera ses travaux lors des réunions d’équipe, des séminaires de l’institut et de conférences internationales. Il/elle sera aussi amené·e à rédiger régulièrement en français ou en anglais.
Les candidat·e·s sont invité·e·s à fournir un CV complet ainsi que les coordonnées de deux références.
Contexte :
Le Centre de biologie intégrative de Toulouse (CBI) regroupe trois départements de recherche en sciences biologiques de l'Université de Toulouse et du CNRS, et 40 équipes de recherche. Il est situé sur le campus scientifique de l'Université de Toulouse, facile d’accès en transport en commun, voiture ou vélo. Le centre offre aux équipes de recherche un excellent environnement scientifique international et technologique qui comportent des équipements innovants, notamment en imagerie et en microscopie élect
Voir plus sur le site emploi.cnrs.fr...
Profil recherché
Contraintes et risques :
Les travaux de thèse ne présentent aucun risque sanitaire.
Niveau d'études minimum requis
- Niveau Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents
- Spécialisation Formations générales
Langues
- Français Seuil
Qui sommes-nous ?
Le Centre national de la recherche scientifique est un organisme public de recherche pluridisciplinaire placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16 000 chercheurs et plus de 16 000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.
Depuis plus de 80 ans, le CNRS développe des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait du CNRS un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde.
Le partenariat qui lie le CNRS avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
À propos de l'offre
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Le Centre national de la recherche scientifique est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 34 000 femmes et hommes (plus de 1 000 laboratoires et 200 métiers), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines. Depuis plus de 80 ans, y sont développées des recherches pluri et interdisciplinaires sur tout le territoire national, en Europe et à l’international. Le lien étroit que le CNRS tisse entre ses missions de recherche et le transfert vers la société fait de lui un acteur clé de l’innovation en France et dans le monde. Le partenariat qui le lie avec les entreprises est le socle de sa politique de valorisation et les start-ups issues de ses laboratoires (près de 100 chaque année) témoignent du potentiel économique de ses travaux de recherche.
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Vacant
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Chercheuse / Chercheur