
Chef de la section des Affaires Réservées (SNRP3)
Référence : 2025-2059637
- Fonction publique : Fonction publique de l'État
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Employeur :
Direction de l'administration pénitentiaire - Administration Centrale
Ministère de la justice Direction de l'administration pénitentiaire Service national du renseignement pénitentiaire (SNRP) Bureau de l'investigation et de l'analyste (SNRP3) - Localisation : 35 rue de la Gare, 75019 PARIS
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- Nature de l’emploi Emploi ouvert aux titulaires et aux contractuels
- Expérience souhaitée Non renseigné
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Rémunération Fourchette indicative pour les contractuels Non renseignée Fourchette indicative pour les fonctionnaires Non renseignée
- Catégorie Catégorie A (cadre)
- Management Oui
- Télétravail possible Oui
Vos missions en quelques mots
Composé d’une équipe pluridisciplinaire d’analystes, la section « Affaires réservées » est chargée de conduire les investigations sur des dossiers sensibles en lien avec le cabinet du directeur de l’administration pénitentiaire, la sous-direction des ressources humaines et les services pénitentiaires déconcentrés ;
Outre les fonctions classiques de chef de section (management, animation de réunions, pilotage de l’activité, etc.), il est attendu du chef de section qu’il supervise et contrôle les investigations des analystes de la SAR, veille à la bonne capitalisation des informations dans la base documentaire du Service, et coordonne les demandes de soutien opérationnel adressées au Service.
Il apporte son concours aux échelons régionaux et son analyse aux autorités hiérarchiques dans son domaine de compétence.
Il peut enfin être amené à représenter le service auprès des services partenaires et à intervenir dans des actions de formation.
Le titulaire du poste devra faire preuve de qualités rédactionnelles éprouvées, d’un intérêt manifeste pour l’investigation et l’analyse, et d’un grand sens de la discrétion. Il devra par ailleurs bénéficier d’une excellente maîtrise des applicatifs fermés pénitentiaires.
Profil recherché
Connaissances :
Excellente connaissance du fonctionnement des établissements pénitentiaires et SPIP et de la règlementation pénitentiaire
Expérience préalable dans le renseignement ou en investigation
Savoir-faire :
Sens de l’analyse
Esprit de synthèse et très bonnes qualités rédactionnelles
Capacité d’organisation, d’adaptation et d’autonomie
Maîtrise des applicatifs informatiques tableurs et traitement de texte
Savoir être :
Aptitude à travailler en transversalité et en équipe : avec les services centraux et déconcentrés de l’AP, les services partenaires extérieurs de sécurité (police, gendarmerie, douane etc.) et de renseignement et les autorités judiciaires
Très bonnes qualités relationnelles
Grande disponibilité
Très forte discrétion professionnelle
Offres de formation associées à votre prise de poste :
Une offre de formation d’adaptation à l’emploi est proposée par le SNRP ainsi qu’un catalogue de formation continue tout au long de la carrière de l’agent.
Perspectives d’évolution professionnelle :
Des mobilités internes au Service peuvent être envisagées, qu’elles soient fonctionnelles ou géographiques, à l’issue des deux premières années de poste.
Éléments de candidature
Personnes à contacter
Qui sommes-nous ?
Service de renseignement au sens de l’article L. 811-4 du code la sécurité intérieure depuis le 1er février 2017, le service national du renseignement pénitentiaire est constitué d’un échelon central au sein de la direction de l’administration pénitentiaire, des dix cellules interrégionales du renseignement pénitentiaires (CIRP) au sein des directions interrégionales des services pénitentiaires, des délégations locales au renseignement pénitentiaire dans les établissements et des cadres référents du renseignement pénitentiaire au sein de SPIP.
Depuis le 15 juin 2019, le renseignement pénitentiaire, restructuré sous forme de service à compétence nationale, est placé sous l’autorité hiérarchique directe du directeur de l’administration pénitentiaire. Dès lors, l’échelon central du service du renseignement pénitentiaire est chargé d’animer et de superviser, au niveau national, les actions des unités déconcentrées du renseignement pénitentiaire.
Descriptif du service
Service de renseignement au sens de l’article L. 811-4 du code la sécurité intérieure depuis le 1er février 2017, le service national du renseignement pénitentiaire est constitué d’un échelon central au sein de la direction de l’administration pénitentiaire, des dix cellules interrégionales du renseignement pénitentiaires (CIRP) au sein des directions interrégionales des services pénitentiaires, des délégations locales au renseignement pénitentiaire dans les établissements et des cadres référents du renseignement pénitentiaire au sein de SPIP. Depuis le 15 juin 2019, le renseignement pénitentiaire, restructuré sous forme de service à compétence nationale, est placé sous l’autorité hiérarchique directe du directeur de l’administration pénitentiaire. Dès lors, l’échelon central du service du renseignement pénitentiaire est chargé d’animer et de superviser, au niveau national, les actions des unités déconcentrées du renseignement pénitentiaire.
Le renseignement pénitentiaire repose sur la collecte, le traitement et la diffusion d’informations en lien avec les risques d’atteinte à la sécurité de l’administration pénitentiaire, aux intérêts de la société, sous des finalités légalement encadrées de prévention contre le terrorisme, de prévention contre la criminalité et la délinquance organisés, et de prévention contre les évasions, de maintien de la sécurité et du bon ordre dans les établissements pénitentiaires.
À propos de l'offre
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Transmettre lettre de motivation et CV
Groupe RIFSEEP : 3B
Restauration : restaurant administratif sur place
Accessibilité en transport / Parking : RER, métro, bus / parking souterrain pour voitures et vélos
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Poste soumis à une habilitation au Secret de la défense nationale OUI ✔ NON ☐
Le poste nécessitant d'accéder à des informations relevant du secret de la défense nationale, l'agent non titulaire fera l'objet d'une procédure d'habilitation, au niveau très secret, conformément aux dispositions des articles R.2311-1 et suivants le Code de la défense et de l'IGI 1300 SGDSN/PSE du 09 août 2021. L'obtention de cette habilitation revêt un caractère obligatoire. Le maintien d'un agent au sein du service est conditionné statutairement par son habilitation au secret de la défense nationale.
Le titulaire de ce poste est soumis à l’ordonnance n° 58-696 du 6 août 1958 modifiée, relative au statut spécial des fonctionnaires des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire ; et au décret n° 66-874 du 21 novembre 1966 modifié, relatif au statut spécial des fonctionnaires des services déconcentrés de l’administration pénitentiaire.
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Susceptible d'être vacant à partir du 01/01/2026
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Chargée / Chargé de la protection du renseignement